Dans un point de presse de ce jeudi à Gitega, Pierre Nkurikiye le porte-parole du ministère de l'Intérieur, du Développement communautaire et de la Sécurité publique a indiqué que depuis mardi le 6 octobre 2020, après des rafles de la police, 64 personnes étrangères dit Banyamurenge vivants illégalement dans la ville de Gitega ont été appréhendé.Après identification, la police a constaté que ces sont des réfugiés qui devrait être dans un camp de réfugiés de Bwagiriza dans la province de Ruyigi.
A voir les documents qu'ils présentent sont classés en trois catégories dont la première est constitué des réfugiés qui ont des autorisations données par le responsable régional l'Office en chargé des apatrides au Burundi et la deuxième catégorie comprend des biais de sortie délivrés par l'administrateur de la confection des réfugiés dans ces camps qui est un Burundais et la troisième catégorie sont des réfugiés qui n'ont rien comme autorisation.
Interrogé, il y a ceux qui s'adonnent aux commerces et qui ont même les autorisations délivrées par le représentant régional pour faire le commerce, il y a également ceux qui sont entre de construire des maisons dans des parcelles délivrés par les services de l'urbanisme à Gitega, les autres sont là et on ignore ce qu'ils font la nuit ou le jour. Mais constant et que ces sont des personnes suspects qui ont sorti le camp hors normes et qui s'adonnent à certains activités interdits pour les réfugiés d'après les standards internationaux qui régissent les réfugiés ou la loi burundaise.
Pour des raisons de sécurité, la mesure prise à leurs encontre et de les acheminer dans leurs cas de provenance pour que l'on puisse faire l'identification et des enquêtes approfondies cas par cas.
Ainsi, l’un ou l'autre aurait l'autorisation de revenir l'on pour à le faire, mais après les enquêtes. Les réfugiés ont des droits d'étudier en dehors du camp pour des cas particulier comme le manque des filières de choix aux environs du cas où dans le camp ce qui n'est pas le cas.
Il a invité à tout Burundais qui rencontre une personne qui ne parle pas le kirundi d'aviser l'administration ou les forces de l'ordre et de sécurité pour identifier si la personne est en ordre avec la loi. Ce message concerne tout le territoire national, car ces derniers jours, ils s'observent la multiplication de ces personnes étrangères surtout dans les centres urbains.
HAVUGIYAREMYE Dieudonné