Il a souligné son engagement à poursuivre les projets initiés par ses prédécesseurs, tout en mettant l'accent sur l'importance de la collaboration avec les natifs et les amis de la province ainsi que la population en général.Il se dit déterminé à faire de Gitega une capitale politique digne de son nom.Le nouveau gouverneur a également salué les bases solides laissées par les anciens gouverneurs, lesquelles serviront d’élan pour le développement de Gitega.
Signalons que cet événement s’est déroulé sous la supervision du délégué du Ministère de l’Intérieur, en présence des autorités administratives, des représentants des différents services etc. Le représentant du ministère de l’Intérieur a demandé au nouveau gouverneur de Gitega, Liboire Bigirimana, de suivre rigoureusement les directives du chef de l’État a adressées à tous les responsables du pays afin d’assurer une gouvernance efficace et un développement harmonieux.
HAVUGIYAREMYE Dieudonné
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Lancé dans la province de Gitega, le projet cible en priorité les familles à faibles revenus, les populations autochtones ainsi que les coopératives rurales avec l’objectif et de lever les barrières à l’accès au crédit.
Ladislas Habonimana, responsable du service de distribution des prêts PAIFAR_B, a indiqué que ce projet impose également le respect des normes environnementales, car les bénéficiaires qui ne s’y conforment pas sont exclus de l’initiative.
Pour assurer une gestion efficace des fonds, le projet s’appuie sur des institutions de microfinance pour la distribution des prêts, ainsi que sur la CAPAD pour le suivi technique des projets. Toutefois, des défis logistiques et administratifs persistent, comme les retards dans la réception des fonds par les microfinances et la soumission tardive de certains projets.
M. Habonimana a précisé que les crédits octroyés sont remboursables avec un taux d'intérêt de 8 %, un taux considéré comme abordable compte tenu des conditions du marché.
Alors que la première phase du PAIFAR-B s’est clôturée le 21 mars 2025, la deuxième, initialement a débuté en avril, mais elle a été officiellement lancée ce 26 juin à Gitega. Elle sera désormais opérationnelle dans toutes les communes de la province de Gitega.
Marie Nindemera, conseillère du gouverneur de Gitega chargée des questions financières et administratives, a précisé que cette deuxième phase du projet est arrivé à point nommé, compte tenu des progrès significatifs réalisés lors de la première phase. Elle a également lancé un appel aux bénéficiaires pour un remboursement diligent des prêts, afin de permettre au projet de soutenir un nombre maximal de personnes.
Mme Nindemera a appelé à une collaboration étroite entre les responsables du projet et les autorités locales, afin de renforcer les mesures d’accompagnement et d’assurer une utilisation optimale des crédits.
Signalons que le PAIFAR-B s’impose comme une réponse concrète aux inégalités d’accès au financement. En misant sur la formation, la responsabilité environnementale et la solidarité locale, le programme illustre une volonté claire : transformer l’aide financière en véritable levier de développement durable.
HAVUGIYAREMYE Dieudonné
]]>À l’école fondamentale de Kidonzi, trois nouvelles salles de classe et un point d’adduction d’eau potable sur la colline Rukobe1 ont été construits. L’école fondamentale de Kivoga a vu la construction de nouveaux bureaux pour la direction et les enseignants, l’école fondamentale de Rukoba, située dans la commune de Gitega, a bénéficié de la construction de trois salles de classe supplémentaires. Cette amélioration des infrastructures éducatives répond à un besoin crucial pour les élèves, souvent confrontés à des conditions d'apprentissage précaires. L’initiative vise à améliorer les infrastructures scolaires dans plusieurs établissements de la zone d’intervention.
Lors de la cérémonie de remise, le représentant de World Vision chargé de l’éducation a salué la coopération fructueuse avec les autorités locales, soulignant le caractère collaboratif du projet. Il a également insisté sur l’importance de l’entretien régulier de ces infrastructures pour assurer leur durabilité et leur utilité pour les élèves et la communauté.
La population de la colline Rukobe 1 a exprimé leur profonde gratitude envers World Vision, mettant en avant l’impact positif de ces réalisations sur l’accès facile à l’eau potable qui permet non seulement de promouvoir une meilleure hygiène, mais contribue aussi à réduire les maladies d’origine hydrique.
Le taux global des réalisations en province Gitega s’élève à plus de 1,5 milliard de francs burundais, témoignant de l’engagement et de la détermination de World Vision pour le développement de l’éducation et du bien-être des enfants et des conditions de vie de la population au Burundi. Ces améliorations concrètes contribuent à un avenir meilleur pour les communautés locales. Cela crée une dynamique avec laquelle chacun se sent impliqué dans le développement de son environnement, favorisant une responsabilisation collective qui est cruciale pour l’avenir des jeunes générations.
HAVUGIYAREMYE Dieudonné
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]]>Gérard Nibigira, chef de cabinet du gouverneur de Gitega, a salué le progrès significatif réalisé grâce au projet Merankabandi II. "Nous sommes reconnaissants surtout envers l'organisation ODAG_CARITAS_Gitega pour son engagement indéfectible en faveur de son enseignement d'accompagnement ". Grâce à ce projet, de nombreuses familles réussissent à accroître leur productivité, à bâtir des maisons et à se lancer dans des activités commerciales, transformant ainsi leur quotidien", a-t-il déclaré. Ce soutien a transformé le quotidien de nombreux Burundais qui, dans un contexte de précarité, trouvent un nouvel espoir pour un avenir prometteur.
Michel Nyabenda, coordonnateur du projet, a présenté un bilan détaillé, incluant la sélection des 1 250 000 ménages bénéficiaires à l'échelle nationale, recevant une aide financière de 72 000 Fbu tous les deux mois pendant deux ans.
Il a insisté sur l'importance de la participation active des bénéficiaires pour la réussite de ce projet, soulignant le rôle essentiel de l'éducation et de l'accompagnement qualifié pour un développement durable.Cette assistance financière a permis aux ménages de couvrir des besoins essentiels, mais aussi d’investir dans des projets générateurs de revenus.
Des avancées prometteuses au service de l’inclusion !
Diane Irakoze, chargée de mise en œuvre de l’ODAG Caritas Gitega, est revenue en détail sur les réalisations dans les mesures d’inclusion productive, qui visent à soutenir les familles vulnérables dans leur autonomie économique. Tout cela prouve un pas de plus vers une protection sociale durable et une inclusion active des populations les plus fragiles.
Les témoignages des bénéficiaires, comme celui de Bukeyeneza Pascaline, une jeune orpheline de Muzima, ont illustré l'impact positif du projet sur la vie des familles. "Grâce à ce programme, j'ai pu acquérir une petite parcelle et des chèvres. Je suis désormais en mesure de subvenir aux besoins de mes petits frères», a-t-elle partagé.
D'autres bénéficiaires ont également souligné l'importance des enseignements d’accompagnement reçus, affirmant qu'ils ne se considèrent plus comme des assistés, mais comme des acteurs actifs de leur propre développement. Ce changement s'inscrit dans une logique d'autonomisation, essentielle pour une inclusion durable.
Des défis pour assurer la pérennité des acquis
Cependant, malgré ces succès indéniables, des préoccupations subsistent concernant la pérennité des acquis du projet. Les intervenants lors de la réunion ont souligné qu'un suivi et un soutien à long terme sont nécessaires pour garantir que les changements initiés ne s’éteignent pas.
Les progrès réalisés jusqu’ ‘ a maintenant sont prometteurs et ouvrent la voie à un avenir meilleur pour les Burundais les plus vulnérables. Grâce à l'engagement du gouvernement et à la coopération des organisations telles qu'ODAG_CARITAS, de nombreux ménages ont pu améliorer leurs conditions de vie.
Il est essentiel de garantir que les efforts déployés ne s’éteignent pas pour ce projet, qui se termine en février 2026. Un engagement continu pour consolider les acquis est nécessaire. Ensemble, nous pouvons espérer un meilleur avenir pour le Burundi, où chacun pourra participer activement à son propre développement et se projeter vers des horizons plus radieux.
HAVUGIYAREMYE Dieudonné
]]>Dans son mot de bienvenue, le gouverneur de Gitega a remercié le gouvernement du Burundi et le COMESA qui ont accepté la tenue de cette activité dans la capitale politique. Grâce à la compétition et à la mobilisation de la jeunesse dans les projets de développement, le Burundi est en paix et en sécurité grâce au comité mixte de sécurité. Elle a souhaité un bon séjour au participant durant les trois jours qu'ils vont passer à Gitega.
Dr. Oita Etyang Chef de la gouvernance, paix et sécurité à quant à lui signaler que la jeunesse est le moteur du changement.'' Le COMESA vous met au défi de modeler l'histoire et de construire votre nation. Saisissez cette opportunité, c'est votre moment, il est temps pour vous de laisser votre marque.", a-t-il martelé.
Le Dr Uwayo Laurien a indiqué qu'au Burundi jouit d'un leadership éclaire grâce à son Excellence le président de la République, champion de l'Union africaine pour l'agenda jeunesse, paix et sécurité qui ne ménage aucun effort pour place la jeunesse au projet de développement du pays.
Cette volonté manifeste de changement de mentalité trouve racine dans la philosophie du président de la République, amis des jeunes qui se résume dans son illustre citation "Chaque bouche ait mangé et poche reçoit de l'argent ''. C'est ainsi que le gouvernement du Burundi a mis en place des structures pour lutte contre le chômage des jeunes, dont le PAEEJ, la BIJE, etc.
En tant que forcé et acteur incontournable pour le changement, Laurien Uwayo a appelé les jeunes à apprendre et à adapter l'application efficace de l'internet, des technologies en tant qu'outils de changement social pour la transformation de l'Afrique vers la croissance et la prospérité.
Dans son allocution d'ouverture, le Secrétaire permanent au Ministère des Affaires de la Communauté Est Africaine, de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, Mbaruhukeye Severin a fait savoir que le Gouvernement du Burundi reconnaît le rôle joué par les jeunes dans le maintien de la paix et de la sécurité, socle du développement durable de notre continent africain en général et de nos pays respectifs en particulier.
Mbaruhukeye Severin a affirmé que la formation dont les jeunes vont bénéficier sera une occasion propice pour mieux saisir les défis qui hantent leur avenir et acquérir le nécessaire pour élaborer des plans d'actions nationales sur les questions de jeunesse, de paix et de sécurité.
HAVUGIYAREMYE Dieudonné
]]>Les députés ont déploré la manière dont ces vestiges sont conservés et ont demandé qu'il y ait un autre lieu propice à la conservation.D'autres ont voulu savoir quand il y aura des enquêtes sur les crimes commis après 1972, car il y a encore d'autres gens qui veulent connaître la vérité sur ces crimes, notamment ceux de 1988, 1991 et 1993 afin d'apaiser leurs cœurs.
Les Commissaires de la CVR ont rappelé à ces invités les différentes qualifications juridiques des crimes que le Burundi a connus depuis la période coloniale jusqu'au génocide de 1972/1973, la manière dont les victimes étaient maltraitées avant d'être assassinées compte tenu des différents objets de torture qui ont été exhumés des fosses communes, la participation active de l'administration publique, de la Jeunesse Nationale Révolutionnaire Rwagasore JRR ainsi que des forces de défense et de sécurité à ces différentes crises.
Après, la visite a continué à l'endroit où se trouvent les fosses communes de Mashitsi en commune Giheta de la province Gitega et Shombo de la province Karusi.Au site de mémoire de Mashitsi en commune Giheta, la CVR Burundi a montré aux députés quatre fosses communes où des restes humains ont été exhumés. Au total, 1.761 personnes assassinées avaient été enterrées à ce lieu.Au site du pont Ruvubu en commune Shombo de la province Karusi, le président de la commission Vérité et réconciliation a indiqué aux députés que ce site est composé de 8 fosses communes déjà excavées, avec un décompte de 7.348 victimes déjà exhumées.
Toujours au site de mémoire du pont Ruvubu, le Président de la CVR dit que selon les témoins, 4 fosses communes non encore fouillées sont cachées sous un monticule de terre déposée au cours des travaux de traçage de la RN 12 reliant Gitega_Karusi_Muyinga.
Parmi les recommandations formulées par la CVR figure une bonne place de construction d'un bâtiment approprié à la conservation de ces vestiges et des moyens nécessaires à la Cvr pour mener à bien sa mission.
Honorable. Sabine NTAKARUTIMANA, Vice-présidente de l'Assemblée Nationale a salué le travail que mène la Cvr dans la recherche de la vérité sur les crimes que le Burundi a vécus.Ce membre du Bureau de l'Assemblée nationale a également remercié ses collègues députés pour avoir consenti à effectuer ensemble cette visite. Elle a aussi promis à la CVR que l'Assemblée Nationale sera toujours proche de la Commission dans l'accomplissement de sa mission.
HAVUGIYAREMYE Dieudonne
]]>Cette rencontre avait pour objectif d'échanger avec les partenaires de développement qui appuie dans le domaine des femmes sur l'amélioration socioéconomique des femmes ; de mobiliser les acteurs sur les activités du projet et de partager de l'expérience au niveau local sur l'approche genre en commune Gitega.
Ce projet a débuté il y a six mois et durera deux ans. 1000 filles et femmes bénéficieront des séances de formation professionnelle et artisanale pour renforcer, d’une part, leurs capacités individuelles (compétences techniques, moyens de production, intégration sociale) et, d’autre part, leur organisation en coopérative capable d’offrir des services adéquats à ses membres et de les appuyer par des mécanismes de solidarité à l'heure où les femmes et les filles confrontées à différentes problématiques.
Jacques Nduwimana, a affirmé que six coopératives constituent de femmes à faibles revenus, d'anciennes travailleuses du sexe, des personnes atteintes du VIH Sida, des personnes handicapées physiquement, des femmes issues de la communauté Batwa, coopératives, des femmes rurales sont déjà accompagnées par la commune en les aidant à améliorer leurs modes de vie.
Le Gouverneur de la province Gitega, Venant Manirambona dans son discours d'ouverture de cet atelier a remercié la commune de Gitega pour ce projet qui vient soutenir les efforts et l’ambition du gouvernement visa à développer et aider les personnes à avoir une vie meilleure.Il a ajouteé que c'est pourquoi, le gouvernement a mis en place et a renforcé des programmes visant l’autonomisation économique des femmes et jeunes. Il s’agit entre autres de la Banque d’investissement et de développement pour les Femmes (BIDF), du Programme d’Autonomisation Économique et de l’Emploi des Jeunes (PAEEJ), le Fonds d’Impulsion, de Garantie et d’Accompagnement (FIGA) et bien d’autres pour accompagner les personnes promoteurs de projets.
Venant Manirambona demande aux responsables du projet de travailler avec d'autres personnes qui ont des projets similaires, de faire un bon ciblage et sans discrimination pour favoriser le partage équitable, tout en appelant les organisations et partenaires de développement a aidé sans mettre en avant leurs propres intérêts.
Vanessa Nibizi est la présidente de la coopérative Akanyuzi Fashion, cette coopérative des demandeurs d'emploi et des étudiants fabriquant des sandales brodées à base de fils. Vanessa Nibizi a révélé que cette coopérative est née d'une association des étudiants des universités de Gitega. La coopérative travaille au sein du jeune centre de la commune Gitega.
« Après avoir fabriqué nos chaussures, nous les vendons, voici le modèle, une pièce se vend à 13 000 Fbu. Notre défi est le manque de marché parce que nous n'avons pas d'adresse sûre. L'autre défi est le manque de fils que nous utilisons faute de moyens financiers. « Nous demandons aux autorités, ou partenaires de développement en général et ceux de la commune Gitega en particulier, d’être toujours à nos côtés pour nous appuyer en équipements pour produire nous-mêmes sans aller de gauche à droite », a-t-elle déclaré.
Elle a indiqué qu’après une concertation avec d’autres membres de la coopérative, bientôt, ils vont présenter leurs projets à la PAEEJ, pour qu’ils étendent leurs activités.
«Nous avons débuté avec un effectif de 25 jeunes, aujourd’hui, on est 17 parce que les autres n'ont pas pu continuer suite à d'autres occupations. Actuellement, nous sommes satisfaites du pas déjà franchi, nous pouvons satisfaire nos besoins».
Vanessa Nibizi demande aux jeunes de se mettre ensemble pour répondre à l'appel du président de la République d'entreprendre des activités de développement, car pour le moment, le gouvernement n'a plus de travail. Ils doivent travailler dur et se créer de l'emploi.
La présidente de la coopérative des personnes qui était en situation de prostitution et qui ont présentement reconverti nous a indiqué que parfois les gens les traités de personnes de mauvaise vie. Mais aujourd’hui, l’attitude des gens à leurs égards a changé. Ces reconvertis demandent un appui financier pour qu’elles commencent à faire des activités génératrices afin de satisfaire leurs besoins élémentaires. « Être prostitué est déshonorant dans notre société, reconnaît-elle. C’est un métier qui comporte des dangers et inconvénients, beaucoup veulent sortir de situation, mais ils manquent du travail. Maintenant, nous bénéficions d'un accompagnement social. Nous sommes confiantes que la commune Gitega va nous soutenir financièrement comme il l’a promu afin d’entreprendre notre projet de mettre en place un salon de coiffure et faire de petits commerces ».
Sinzotuma Calinie, présidente de la coopérative Handisport, indique que cette coopérative constitue des personnes vivant avec un handicap a été créée il y a 3 ans.Après avoir tenté, à maintes reprises, de chercher du job, mais sans succès, Appuyées par la commune, elles se sont rassemblées pour pouvoir créer leur propre emploi .
« Nous avons bénéficié des machines de la part de l'organisation Word vision pour commencer, ce qui nous a permis de se regrouper en coopérative »,a-t-elle indiqué Calinie Sinzotuma .
Elle se réjouit que jusqu’à présent le métier de couture fait vivre leurs familles, et espère qu’ils vont se développer, vus, le courage des membres et la clientèle.Cependant, le manque des tissus et autres matériels qui, les obligent à travailler exclusivement sur commande, figure parmi les défis que rencontre ladite coopérative, a signalé Calinie Sinzotuma.
Elle a lancé un appel à ministère en charge de la Solidarité nationale et d’autres organisations, de les appuyer en machines à coudre.Calinie Sinzotuma a également lancé un appel à toutes les personnes vivant avec handicap, à apprendre des métiers, afin de couper court avec la mendicité.
Nibitanga EMELYNE est présidente de la Coopérative ’ « Akaranga_Gitega » regroupant les femmes en situation de vulnérabilité crée par l’initiative de la commune et encadrée par le Centre pour jeunes de Gitega.
Nibitanga EMELYNE a indiqué que la coopérative a commencé avec un effectif de 45 femmes, mais aujourd’hui, il ne reste que 30, car certaines, on abandonne au début par manque de persévérance. Avant de commencer, elles ont bénéficié des séances d’intégration sociale avec l’animateur mis à leur disposition par la commune Gitega.
« La commune nous a appuyés en nous donnant des enseignements d’intégration sociale et un appui financier. Il nous a donné des machines à coudre ».
Elle a ajouté que cette coopérative fait de la vannerie, la couture, la broderie. Souvent, ces femmes travaillent par commande et parfois se rendent dans des expositions organisées au niveau provincial et national, mais, précise-t-elle, elles ne reçoivent rien davantage, car il n'y a pas de clients.
HAVUGIYAREMYE Dieudonné
]]>Le gouverneur de Gitega ,Venant Manirambona à remercier l’Agence de Régulation du Burundi (ARCA) qui a choisi de clôture les activités dédiées à la semaine de l’assurance à Gitega. Il a aussi salué un geste de solidarité qu'ils ont témoigné à l'endroit des malades hébergés au centre CNAR et un don de 100 sacs de ciment qu’ils ont apporté à l’Ecofo_Rutegama en cours d'extension pendant les travaux communautaires effectué ce samedi matin avant le match.
Il a indiqué que l’administration fait chaque fois un appel à la population de protéger leurs biens dans les sociétés d’assurances.Il a affirmé qu’ils vont continuer la sensibilisation dans des réunions comme à l’accoutumé.
Dans son allocution, Hon. Dr. Joseph Butore, Secrétaire Général de l'ARCA, a précisé que l'événement a été couronné de succès grâce aux organisateurs et partenaires tant internes qu’externes.
Il a mentionné que ce fût une occasion pour apprendre à travers les exposent des panélistes qui ont alimenté des conférences débats, des jeux concours, actions caritatives, pause de ralentisseurs, Match de football, etc.
Il a également invité les gens à adhérer dans les sociétés d’assurance, car avec l’assurance tous les biens et personnes sont protégés biens et les personnes sont protégés contre les risques et catastrophes.
HAVUGIYAREMYE Dieudonné
]]>Ce lundi, le 24 juillet 2023, la troisième promotion a été lancée officiellement dans la commune de Giheta. L’effectif d’apprenants a été porté à 1040 actuellement dans ces sept communes tandis que pour les deux récentes promotions, le nombre d’apprenants alphabétisé était de 520 pour chacune. La commune de Giheta compte cette année plus de 70 apprenants en provenance de 12 collines seulement. Le projet prévoit prochainement étendre ces enseignements sur d’autres collines une fois les facilitateurs deviennent nombreux.
Les apprenants et les facilitateurs d’alphabétisation ont reçu divers matériels qui les aideront au cours des six mois de formations. Il s’agit des cahiers, des stylos, des sacs pour transporter des cahiers et des parapluies qui les aideront pendant la saison des pluies afin d'éviter les retards ou l'absentéisme.
Le secrétaire permanent en commune de Giheta qui a rehaussé sa présence, cette activité, l’ouverture solennelle de l’alphabétisation et la formation de base des adultes éditions 2023-2024 a apprécié positivement la bonne collaboration qui règne entre ce projet PIPARV_B dans tous les domaines d’interventions.
Il a demandé à ceux qui vont suivre ces enseignements d'alphabétisation d'étudier rigoureusement afin de sortir du cercle vicieux de la pauvreté et pouvoir faire des projets de développement personnel et communautaire. De plus, il leur a demandé de ne pas s'absenter ou d'être en retard.
Il a salué l’initiative des responsables éducatifs de cette localité qui ont accepté donner la place pour cette formation. Au formateur, il les a appelées à travailler avec diligence pour que ces apprenants reçoivent des compétences appropriées.
SINKIRANKABO Anatolie, responsable du programme égalité du genre au sein du PIPARV_B, affirme que l'ouverture des centres d'alphabétisation et de formation base sur le développement constitue la clé du progrès.
Elle a ajouté qu’à travers ces enseignements, les bénéficiaires vont apprendre des initiatives de la stratégie pour l’égalité du genre et l’inclusion sociale des femmes comme la lutte à la malnutrition, l’accompagnement des néo alphabétisés dans la création et dans la gestion des groupes de caution solidaire (GCS) etc.
En plus de cela le projet offre l’ appui juridique aux victimes de violences basées sur le genre, contribuer à la réduction de la pénibilité du travail de la femme à travers la promotion des foyers améliorés et des collecteurs d’eau de pluie, enseigner la méthode GALS pour promouvoir le dialogue et la parité hommes/femmes à l’intérieur du ménage et de la collectivité.
Selon SINKIRANKABO Anatolie, en matière d’égalité du genre, la stratégie genre du PIPARV-B vise à atteindre la pleine participation de la femme et de la jeune femme aux activités de développement afin que leurs ménages bénéficient de la sécurité alimentaire et nutritionnelle ainsi qu’a l’accès aux services financiers et non financiers.
A note qu’il est impossible que la population sorte rapidement de leur pauvreté extrême sans renforcer les capacités de participation des femmes et des jeunes non scolarisés aux activités de développement via l’alphabétisation fonctionnelle.
HAVUGIYAREMYE Dieudonné
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